La Réunion, c’est le combo volcan + cirques verts + lagon + culture créole.
1. Randonner sur le Piton de la Fournaise
On commence fort avec l’un des volcans les plus actifs au monde, mais parfaitement accessible en mode randonnée encadrée.
Rejoindre le Pas de Bellecombe
La route traverse le paysage lunaire de la Plaine des Sables avant d’arriver au parking du Pas de Bellecombe. Départ matinal indispensable pour éviter la chaleur et les brouillards. Prévoir vêtements chauds, coupe-vent et de l’eau en quantité. Le décor change radicalement au fur et à mesure de la montée.
Descendre dans l’Enclos Fouqué
Le sentier balisé descend dans l’enclos, vaste caldeira noire et rouge. Le terrain est caillouteux, parfois irrégulier, mais bien marqué. Il faut de bonnes chaussures de rando et des bâtons peuvent aider. La descente est facile… la remontée un peu moins.
Adapter la distance au niveau
Tout le monde n’est pas obligé d’aller jusqu’au cratère sommital ; il est possible de faire seulement une partie du parcours. Mieux vaut respecter les temps indiqués et garder de la marge pour le retour. En cas d’alerte volcanique ou de météo mauvaise, suivre strictement les recommandations officielles.
2. Découvrir le cirque de Cilaos
Après le volcan, place à un cirque accessible par une route mythique.
Emprunter la route aux 400 virages
La route de Cilaos grimpe depuis la côte sud par une série de lacets spectaculaires. Elle demande prudence et absence de mal des transports. On prend son temps, on s’arrête aux points de vue. Une fois arrivé, la sensation de dépaysement est totale.
Se balader dans le village
Cilaos propose ruelles, cases créoles, petite église et quelques boutiques. On peut y goûter lentilles, vins locaux ou spécialités créoles. Une promenade à pied permet de se dégourdir les jambes après la route. Le climat est plus frais qu’en bord de mer.
Choisir une petite randonnée autour
De nombreux sentiers partent de Cilaos : Roche Merveilleuse, la Chapelle, bassins… Selon le temps et la forme, il est facile de trouver une balade de 1 à 4 h. Renseignements à prendre auprès de l’office de tourisme ou de l’hébergement. Chaussures fermées recommandées.
3. Explorer le cirque de Mafate
Mafate, c’est le cirque sans route, accessible uniquement à pied ou en hélico.
Choisir un point d’entrée
On peut accéder à Mafate depuis plusieurs cols (Col des Bœufs, Rivière des Galets, Maïdo…). Le choix dépend du niveau de marche et du temps disponible. Les accès les plus « faciles » restent ceux avec moins de dénivelé au départ. Un départ tôt est conseillé pour marcher au frais.
Randonner jusqu’à un îlet
Les villages (îlets) comme Marla, La Nouvelle ou Roche Plate sont des objectifs classiques. Les sentiers sont bien tracés mais souvent physiques : montées, descentes, marches en pierre. Le paysage compense largement l’effort. Il est indispensable d’avoir assez d’eau et de quoi grignoter.
Dormir en gîte pour prolonger
Passer une nuit dans un îlet permet de vraiment ressentir l’ambiance de Mafate. Gîtes simples mais chaleureux, repas créoles, ciel étoilé : tout y est. Il faut réserver à l’avance, surtout en haute saison. Le lendemain, on peut revenir par un autre sentier ou repartir par le même.
4. Se balader dans le cirque de Salazie et Hell-Bourg
Cirque verdoyant, plus accessible et très photogénique.
Suivre la route des cascades jusqu’à Salazie
En remontant depuis la côte est, on longe falaises couvertes de végétation et cascades impressionnantes. Des arrêts sont possibles sur des parkings aménagés. Le trajet fait déjà partie de la visite. La route est sinueuse, mais moins longue que celle de Cilaos.
Découvrir Hell-Bourg
Classé parmi les plus beaux villages de France, Hell-Bourg aligne cases créoles colorées, jardins et rues calmes. Une promenade à pied suffit pour en voir l’essentiel. On peut visiter la Maison Folio pour mieux comprendre l’architecture locale. Le climat y est souvent humide et frais.
Faire une petite randonnée dans le secteur
De nombreux sentiers courts ou moyens partent du cirque (Vers le Trou de Fer, cascades, forêts). Selon le timing, il est facile de caser une balade de 2 ou 3 heures. Toujours se renseigner sur les conditions du moment (pluie, glissements). Le relief peut être trompeur.
5. Profiter du lagon de l’Hermitage et des plages de l’Ouest
Place à la partie balnéaire de l’île.
Choisir une plage sécurisée avec lagon
Boucan Canot, l’Hermitage ou la Saline-les-Bains font partie des plages les plus connues. Les zones lagonaires protégées sont privilégées pour la baignade et le snorkeling. Il faut respecter les zones surveillées et les indications relatives à la sécurité. S’informer sur les règles locales est indispensable.
Faire du snorkeling dans le lagon
Masque et tuba permettent d’observer poissons tropicaux et coraux dans des eaux généralement calmes. Rester dans les zones autorisées et ne pas marcher sur le récif. Un t-shirt anti-UV est un allié précieux. L’activité reste accessible même aux débutants.
Profiter des restaurants et bars de plage
La côte ouest propose de nombreux snacks, restos et bars en bord de mer. Parfait pour un déjeuner pieds dans le sable ou un coucher de soleil. Les prix varient selon l’emplacement, mais l’ambiance reste globalement décontractée. Très pratique pour conclure une journée de visites.
6. Faire une sortie en mer pour observer dauphins et baleines (en saison)
Pour une rencontre avec la faune marine.
Vérifier la saison d’observation
Les baleines à bosse sont généralement visibles en hiver austral, tandis que les dauphins peuvent être présents plus régulièrement. Il est important de se renseigner sur la période optimale. Les sorties sont tributaires de la météo et de la mer.
Partir avec un opérateur responsable
Des sorties encadrées respectent des règles strictes de distance et de comportement. Il faut choisir un prestataire qui met en avant le respect des animaux. L’observation se fait souvent assis, avec explications à bord. Les jumelles sont un plus.
Prévoir vêtements et anti-mal de mer
Même sous les tropiques, le vent peut être frais au large : un coupe-vent léger est utile. Pour ceux qui y sont sensibles, un traitement contre le mal de mer à prendre avant le départ peut sauver la sortie. Crème solaire et chapeau restent indispensables.
7. Randonner jusqu’au Piton des Neiges (pour bons marcheurs)
Le toit de l’océan Indien, pour ceux qui veulent un défi.
Choisir son itinéraire d’accès
Plusieurs sentiers mènent au Piton des Neiges (Cilaos, Salazie, parfois Plaine des Cafres). Tous demandent une très bonne condition physique. La montée est longue, avec beaucoup de dénivelé. Il faut se renseigner précisément sur le parcours choisi.
Dormir en gîte de montagne
Beaucoup de randonneurs montent au gîte de la Caverne Dufour l’après-midi, dorment quelques heures, puis repartent de nuit pour le sommet au lever du soleil. Réservation obligatoire pour le gîte. Sac de couchage et vêtements très chauds nécessaires.
Monter au sommet pour le lever du soleil
La dernière partie se fait à la lampe frontale. Au sommet, la vue par temps clair couvre les cirques et parfois au-delà. La descente est longue, il faut gérer son effort. Ce n’est pas une randonnée à prendre à la légère, mais un incroyable souvenir pour ceux qui s’y préparent.
8. Se balader au Maïdo et admirer la vue sur Mafate
Pour un panorama grandiose sans forcément grosse randonnée.
Monter au Maïdo en voiture
La route grimpe depuis la côte ouest jusqu’au belvédère du Maïdo. Le départ matinal est conseillé pour éviter nuages et embouteillages. Le parking donne directement accès au point de vue. Il peut faire frais et venteux en haut.
Observer le cirque de Mafate depuis le belvédère
Depuis la plateforme, la vue plonge sur Mafate, ses îlets et ses remparts. C’est l’un des plus beaux panoramas de l’île. Par temps clair, on distingue très bien les sentiers et reliefs. Un simple temps d’observation vaut largement le déplacement.
Ajouter une petite marche sur le bord du rempart
Des sentiers faciles longent le rempart sur de courtes distances. Ils permettent de multiplier les points de vue sans effort extrême. Il faut toutefois rester prudent près des bords. Une ou deux heures sur place suffisent pour profiter pleinement du site.
9. Faire du canyoning dans l’un des canyons de l’île
Pour une activité sportive en pleine nature.
Choisir un canyon adapté à son niveau
La Réunion propose des canyons plus ou moins techniques (Trou Blanc, Fleurs Jaunes, Langevin, etc.). Les débutants ont des options ludiques et aquatiques, les plus sportifs trouvent des parcours plus engagés. Il faut passer par un encadrement professionnel.
S’équiper avec le prestataire
Combinaison, casque, baudrier, cordes : tout est fourni par l’organisation. Le guide explique les techniques de base, les rappels, les toboggans. Il faut être à l’aise dans l’eau et accepter de se mouiller complètement. Le tout se fait dans un cadre sécurisé.
Profiter des cascades et vasques
La descente alterne sauts (non obligatoires), glissades naturelles, rappels et nage. C’est une manière très immersive de découvrir l’intérieur de l’île. L’activité occupe en général une demi-journée à une journée. À réserver pour ceux qui aiment vraiment l’action.
10. Survoler l’île en parapente (Saint-Leu)
Pour prendre vraiment de la hauteur.
Contacter une école de parapente professionnelle
Saint-Leu est un spot renommé pour les baptêmes de parapente. Les vols se font en tandem avec un moniteur. Ils sont adaptés même aux personnes sans expérience. Il suffit de réserver et de suivre les consignes.
Décoller depuis les hauteurs
Une navette emmène au point de décollage. Là-haut, le moniteur prépare la voile et l’équipement. Le décollage consiste en quelques pas de course, puis les pieds quittent le sol. Sensation immédiate de liberté au-dessus des champs et du lagon.
Profiter du vol au-dessus du lagon
Selon les conditions, le vol dure une vingtaine de minutes ou plus. On survole littoral, champs de canne, ravines et eaux turquoises. À l’atterrissage, la satisfaction est souvent au rendez-vous. Une activité à prévoir si la météo est clémente.
11. Visiter la Cité du Volcan et la Plaine des Cafres
Pour combiner pédagogie et paysages volcaniques.
Découvrir le musée
La Cité du Volcan présente le Piton de la Fournaise, mais aussi la géologie de l’île de manière ludique. Maquettes, films, maquettes interactives et explications rendent la visite accessible à tous. Idéal avant ou après une randonnée sur le volcan.
Se promener dans les alentours
La Plaine des Cafres propose des pâturages, des vues sur les sommets et un climat plus frais. On peut faire de courtes balades dans le secteur. Certaines aires de pique-nique sont aménagées. Pratique pour une journée partagée entre musée et extérieur.
Adapter la visite aux familles
La Cité du Volcan est bien adaptée aux enfants, avec des éléments interactifs. Cela convient bien aux jours de pluie ou de brouillard, fréquents dans la région. Prévoyez un pull même en « été ». Une bonne option pour varier les plaisirs.
12. Découvrir les plages et le port de Saint-Gilles-les-Bains
Station balnéaire principale de l’Ouest.
Se promener autour du port de plaisance
Le petit port de Saint-Gilles concentre bateaux, restaurants, glaciers et boutiques. Une promenade le long des quais est agréable en fin de journée. C’est aussi un point de départ pour certaines sorties en mer. Ambiance vacances garantie.
Profiter des plages voisines
Boucan Canot et Roches Noires sont à proximité, avec des dispositifs de sécurité adaptés. On alterne baignade, bronzette modérée et cafés de bord de mer. Toujours bien vérifier les conditions de mer et les autorisations de baignade.
Sortir le soir dans les bars et restos
Saint-Gilles propose une vie nocturne plus animée que beaucoup d’autres endroits de l’île. Bars, restaurants, parfois concerts viennent compléter la journée plage. Idéal pour un dîner en terrasse. À adapter selon l’énergie du moment.
13. Visiter Kélonia, l’observatoire des tortues marines (Saint-Leu)
Pour une approche pédagogique de la faune marine.
Découvrir le parcours de visite
Kélonia combine centre de soins, musée et espace d’observation. On y apprend l’histoire des tortues, leurs menaces et les actions de protection. Les bassins permettent de voir les animaux de près. La visite est adaptée à tous les âges.
Comprendre les enjeux de conservation
Les panneaux expliquent la pollution, la pêche, le braconnage et les efforts pour sauver les tortues. Cela donne un autre regard sur la mer qu’on vient de voir depuis la plage. Les enfants apprécient particulièrement les tortues en réhabilitation.
Combiner avec une balade à Saint-Leu
Après Kélonia, une promenade dans Saint-Leu ou un arrêt à la plage complète bien la demi-journée. On peut prévoir un pique-nique ou un repas dans un restaurant du coin. Activité idéale pour une journée plus calme.
14. Se balader au Jardin des Parfums et des Épices (Sud sauvage)
Pour les amoureux de plantes et de senteurs.
Découvrir la visite guidée
Le jardin propose généralement des visites commentées pour présenter plantes, épices et arbres remarquables. On y apprend l’origine et l’usage de nombreuses espèces. La visite se fait à pied, sur un terrain parfois un peu irrégulier mais accessible.
Sentir et toucher la végétation
Vanille, cannelle, curcuma, caféiers, fleurs tropicales… le jardin est un concentré de parfums. On est invité à sentir, parfois toucher, sans abîmer. Les explications du guide rendent le tout très vivant. Une à deux heures suffisent.
Acheter quelques produits sur place
Certains jardins vendent épices, huiles essentielles, confitures ou autres produits dérivés. Cela fait de bons souvenirs à rapporter. Vérifiez la place dans la valise et les règles de douane de retour. Une activité douce et enrichissante.
15. Admirer la côte du Sud sauvage (Anse des Cascades, Cap Méchant…)
Pour une côte basalte + océan déchaîné.
Marcher à l’Anse des Cascades
Ce site combine petit port, cocotiers et cascades qui se jettent presque dans la mer. Une promenade facile permet de tout voir sans effort. Parfait pour un pique-nique ombragé. Les jours de houle, le spectacle est encore plus impressionnant.
S’arrêter au Cap Méchant
Les falaises noires et les vagues qui viennent s’y briser créent un décor très sauvage. Un sentier balisé permet de longer la côte sur une courte distance. Il faut rester sur les chemins et ne pas trop s’approcher des bords. Un arrêt marquant lors d’un tour du Sud.
Combiner avec la route des laves
Dans le secteur, les anciennes coulées de lave figée et la route des laves montrent la rencontre entre volcan et océan. On voit la végétation qui recolonise doucement les roches. Plusieurs points de vue sont aménagés. Une demi-journée peut être dédiée à ce seul secteur.
16. Marcher dans les champs de canne et visiter un musée de la canne (Stella Matutina par exemple)
Pour comprendre une autre facette de l’île.
Se balader en périphérie des champs
En bord de route ou sur certains chemins, on longe de grandes étendues de canne à sucre. La coupe se fait selon les saisons, ce qui change le paysage. On observe le travail agricole de loin, sans gêner. Un chapeau est utile, il fait souvent chaud dans ces zones.
Visiter un musée dédié à la canne
Des musées comme Stella Matutina expliquent l’histoire de la culture de la canne et de l’industrie sucrière. Machines, photos, témoignages y sont présentés. La visite éclaire aussi l’histoire sociale et économique de l’île. Intéressant à combiner avec d’autres visites culturelles.
Terminer par une dégustation ou une boutique
Certains lieux proposent dégustations de produits dérivés (sucre, rhum, confiseries). La boutique permet d’acheter quelques souvenirs gourmands. Une bonne transition entre partie « nature » et partie « culture » du voyage.
17. Découvrir Saint-Pierre et le Sud plus urbain
Saint-Pierre, capitale du Sud, mélange front de mer, marché et patrimoine.
Se promener sur le front de mer
La jetée, la plage et la promenade sont agréables en fin de journée. On y trouve food trucks, glaces et terrasses. Une marche simple pour respirer après la chaleur du jour. Très fréquenté le week-end.
Visiter le centre-ville et ses bâtiments
Saint-Pierre aligne cases créoles, bâtiments administratifs et quelques églises et temples. Une balade à pied permet de voir l’essentiel. Le samedi matin, le marché forain est très animé. Parfait pour découvrir produits locaux et artisanat.
Utiliser Saint-Pierre comme base pour le Sud
De nombreux voyageurs choisissent Saint-Pierre comme point de chute pour explorer le Sud sauvage, le volcan ou Cilaos. La ville dispose de nombreux hébergements et restaurants. Cela permet de limiter les temps de route chaque jour.
18. Passer du temps dans Saint-Denis, la capitale
Pour compléter la vision de l’île par son centre administratif et historique.
Se balader dans le centre-ville
Rue de Paris, Barachois, Jardin de l’État : le centre de Saint-Denis se découvre à pied. Bâtiments coloniaux, boutiques et cafés ponctuent la balade. Il est intéressant de lever les yeux pour voir balcons et façades. Le Jardin de l’État offre une pause au vert.
Visiter un ou deux musées
Musées d’histoire, d’art ou de sciences permettent de mieux comprendre le passé de l’île. Selon les goûts, on peut choisir un musée plus patrimonial ou plus thématique. La visite est un bon complément aux randonnées et sorties nature.
Goûter à la cuisine créole en ville
Saint-Denis abrite de nombreuses adresses pour tester cari, rougail, samoussas, bouchons et autres spécialités. Un déjeuner ou dîner en ville permet de sentir le rythme d’une grande ville de l’océan Indien. Idéal en début ou fin de séjour.
19. Faire une journée « lagon et activités nautiques » (kayak transparent, paddle, plongée)
Pour ceux qui veulent exploiter à fond le côté mer en restant dans les zones sécurisées.
Tester le kayak transparent ou le paddle
Dans certaines zones lagonaires, on peut louer kayak transparent ou paddle. Cela permet de voir les fonds tout en restant au sec, ou presque. L’activité est accessible même aux débutants, sur mer calme. Le gilet reste conseillé.
Faire un baptême de plongée
Des clubs proposent des baptêmes dans le lagon ou près de la côte ouest. L’accompagnement est très progressif, avec une profondeur limitée. Idéal pour ceux qui n’ont jamais plongé. Il faut prévoir une demi-journée.
Compléter avec snorkeling libre
Entre deux activités encadrées, un simple snorkeling dans le lagon permet de prolonger l’observation de la vie sous-marine. Masque, tuba, palmes et respect du récif suffisent. Une excellente journée pour ceux qui aiment l’eau.
20. S’offrir une journée « sans route » dans un seul cirque
Parce qu’à La Réunion, on a vite tendance à trop enchaîner, une journée concentrée sur un seul cirque fait beaucoup de bien.
Choisir Mafate, Cilaos ou Salazie
Au lieu de changer de cirque chaque jour, consacrer 24 heures à un seul. Par exemple, une journée entière à Cilaos ou Hell-Bourg sans reprendre la voiture. Ou une journée complète en aller-retour dans Mafate. Cela réduit la fatigue routière.
Organiser une seule randonnée principale
Plutôt qu’une succession de petites balades, prévoir une vraie randonnée adaptée à son niveau, avec départ tôt, pique-nique et retour tranquille. On profite alors mieux des paysages et des ambiances. Une seule bonne rando marque souvent plus qu’une série de petits sauts.
Garder du temps pour simplement flâner
Après la marche, flâner dans le village, boire un café, discuter avec les habitants ou rester sur la terrasse du gîte. Cette lenteur donne une autre saveur au voyage. La Réunion se savoure aussi quand on ralentit.
